Une porte s’est ouverte pour moi : celle de la vie

A 40 ans passés, je n’étais pas réconciliée avec mon histoire, je vivais dans l’amertume et la peur de l’avenir. Je fonctionnais cependant bien dans ma vie, malgré mon cœur rempli de détresse ; l’accès au bonheur et à la liberté des enfants de Dieu me semblaient inaccessibles. Pendant la retraite j’ai pu pleurer mon impuissance, l’accepter et une porte s’est ouverte pour moi : celle de la vie.

Cette retraite est un temps privilégié d’écoute et de prière ; la vie continue cependant avec ses joies et ses peines, mais dans une douceur nouvelle et une confiance renouvelée. Alexandra.